
ACTU
VIDÉO À LA UNE
PROCHAINS CONCERTS
2023-24
24
nov
Brahms, quatuor avec piano n°2
Avec Thierry Maurin, Natan Gorog, Nicola Serravalle
Le Raincy, Salon d'honneur de l'Hôtel de ville
20h30
26
nov
Clara et Robert Schumann
Romances, Contes et Fantaisies musicales
Patrick Langot, violoncelle, Daria Fadeeva, piano
Vaux-sur-Seine
17
jan
Piazzolla, Le Grand Tango
Sivak, Descaminos
Avec Alejandro Sandler et l'Orchestre de Lutetia
Paris, Théâtre de l'Alliance Française
Enregistrement public de "Générations France Musique, le live" à 20h / > Diffusion samedi 27/01 à 16h
21
jan
Vivaldi, "Sento in seno", Airs d'opéra et concertos
Avec Anna Reinhold, Camille Delaforge et Il Caravaggio
Bilbao (Espagne), Festival Arte sacro
26
jan
SORTIE DU NOUVEAU CD "ALAS" (EVIDENCE CLASSICS)
Concertos de Di Giusto, Sivak / œuvres de Iglesias Rossi, Ginastera
16
mars
Quintette et Quatuor de Delvincourt
Avec le Quintette Syntonia
Paris, Théâtre de l'Alliance Française / Enregistrement public de "Générations France Musique, le live"
16h
27
mars
[CONCERT DE SORTIE DE CD]
"GRAND ÉCART" Alpha & Omega de la musique de Claude Delvincourt / Avec le Quintette Syntonia
Paris, Salle Cortot
20h30
BIOGRAPHIE

Patrick Langot fait figure d'électron libre parmi les violoncellistes de sa génération. Il mène depuis 20 ans une double carrière sur violoncelles baroque et moderne. Il se produit fréquemment en récital (Festival International de Beauvais, Théâtre du Capitole de Toulouse, Le Quartz de Brest, Paris Salle Cortot, Abbaye de Royaumont…) et en soliste (concertos de Haydn, CPE Bach, Vivaldi, Porpora…)
Son nouveau CD Alas met à l'honneur la création pour violoncelle et orchestre. Il passe commande de deux œuvres concertantes auprès des compositeurs argentins Gabriel Sivak et Gerardo Di Giusto. Le disque éponyme avec le violoniste Alexis Cardenas et l'Orchestre de Lutetia dirigé par Alejandro Sandler sort début 2024 chez Évidence Classics.
Il fonde en 1999 avec le pianiste Romain David le Quintette Syntonia, avec lequel il remporte le Prix Tina Moroni du Concours International de Florence, joue dans de nombreux festivals, tourne pour Arte. Ses partenaires de musique de chambre sont également les sopranos Maya Villanueva et Élodie Fonnard, les pianistes Alain Planès et Daria Fadeeva, les violoncellistes Emmanuelle Bertrand et Agnès Vesterman, la violoniste Stéphanie Moraly... Il est notamment l'un des rares violoncellistes à jouer la Sonate pour Arpeggione de Schubert sur l'instrument éponyme.
Saluée par la critique, sa vaste discographie de plus d'une trentaine d'opus s’étend du baroque au 21e siècle (Choix de France Musique, Diapason Découverte, Version de référence de la Tribune des critiques de France Musique, CHOCS Classica…). Enregistré sur trois violoncelles, son premier CD solo intitulé Præludio est salué par la critique. Il enregistre aussi pour Harmonia Mundi la musique de chambre de Benoît Menut.
Patrick est un ardent défenseur de la musique des compositeurs actuels. En solo ou avec Syntonia, il travaille avec Édith Canat de Chizy, Camille Pépin, Henri Dutilleux, créé des œuvres de Suzanne Giraud, Nicolas Bacri, Pierre Chépélov, Olivier Greif, Alejandro Iglesias Rossi, Olivier Calmel et passe commande auprès de Régis Campo, Philippe Forget, Gerardo di Giusto, Benoît Menut, Tôn-Thât Tiêt, Graciane Finzi, Gabriel Sivak, Grégoire Letouvet...
Il est et fut violoncelle solo de nombreux ensembles sur instruments anciens : Les Musiciens du Louvre (Marc Minkowski), Orfeo 55 (Nathalie Stutzmann), Il Caravaggio (Camille Delaforge), les Musiciens de Saint Julien (François Lazarevitch)...
Diplômé du CNSM de Paris (1ers Prix de violoncelle et de musique de chambre) et du CRR de Paris (1er Prix de musique ancienne), il est lauréat de la Fondation de France et de la Fondation Royaumont et est en résidence à la Fondation Singer-Polignac avec de nombreux ensembles.
PRESSE
« La Pampeana n°2 op.21 et la sonate opus 49 de Ginastera, composition souvent volcanique que joue avec une incroyable intensité Patrick Langot » - Opéra Magazine, 4 Clés, mars 2017
« Le violoncelle de Patrick Langot, ailleurs pilote fédérateur de l’ensemble de musique de chambre Syntonia, dévoile la puissance expressive de la Sonate pour violoncelle et piano [de Ginastera] datée de 1979 » - classiquenews.com, novembre 2016
« L’archet généreux, la sonorité pleine, riche, âpre et la rauque aussi lorsque l'expression le réclame, de Patrick Langot trouvent un terrain d’expression rêvé dans ces pages. » - concertclassic.com, novembre 2016
« Toute la force de l'Amérique Latine sous les doigts de Patrick Langot. Et que dire de la sonate pour violoncelle et piano qui lui va comme un gant ? Sa force d'interprétation éclate à chaque mesure. Le trait est net et puissant. » - Ouest France, novembre 2016
« The orchestra, Orfeo 55, play with a bristling energy throughout. Cello soloist Patrick Langot, is to be commended for his delicate solo during Son qual stanco Pellegrino. » - Limelight / Australia’s classical music & art’s magazine, avril 2015
« Il était attendu. Le programme était risqué. Un programme intimiste dans la grande salle du Quartz… Il n'a pas déçu, ils n'ont pas déçu. Patrick Langot et Aline Zylberajch ont prouvé qu'il n'y avait pas qu'une façon d'écouter la musique baroque et que, passée la première surprise de la sonorité des instruments anciens, le plaisir était au bout. Plus de 800 spectateurs, une qualité de silence exceptionnelle... L'Arpeggione de Schubert, en conclusion, procure de nouvelles émotions. Magistrale, propre à faire fondre le public. On le connaissait continuiste, chambriste. Avec ce concert, Patrick Langot s'impose en véritable soliste. » - Ouest France, janvier 2014
« Salle pleine au Quartz en ce mercredi soir. Le violoncelliste Patrick Langot a la rude tâche d'ouvrir le concert du Collegium Orpheus, sur instrument baroque, avec le 2ème concerto d'Haydn, une œuvre qui fourmille de difficultés. Un choix assumé. Un choix exigeant. La musique se crée là, sous nos yeux, avec un artiste engagé, habité, qui pousse l'expressivité jusqu'à faire rire ou pleurer ses cordes. Chatoiement des couleurs et demi-teintes. On salue la cadence du premier mouvement, écrite par le violoncelliste lui-même. Un véritable morceau de bravoure. La tiédeur n'est pas la marque de Patrick Langot. » - Ouest France, juin 2012
« A retenir avant tout, le violoncelle de Patrick Langot dans le « Qui Habitare » du Laudate Pueri : la vie palpite dans la lagune. » - Diapason, avril 2012
« Agnès Vesterman et Patrick Langot campent avec intensité tour à tour bourreaux ou victimes. » (Greif, "The Battle of Agincourt") » - Diapason, mai 2010
« Emporté par la musique, au-delà de son instrument, il descend au plus profond des cœurs. Il nous touche comme seul de jeunes interprètes peuvent aujourd’hui le faire, qui ne sont pas blasés par la routine. » - classiquenews.com, août 2006