
"Cello soloist Patrick Langot, is to be commended for his delicate solo"
Limelight / Australia’s classical music & art’s magazine
"Un soliste de premier ordre"
Le Figaro
”La tiédeur n’est pas la marque du violoncelliste“
Ouest France
"Un artiste accompli"
Classiquenews
"À retenir avant tout, le violoncelle de Patrick Langot"
Diapason
ACTUALITÉ
PROCHAINS CONCERTS
2020
2021
BIOGRAPHIE
Patrick Langot fait figure d'électron libre parmi les violoncellistes de sa génération. Il mène depuis 20 ans une double carrière sur violoncelles baroque et moderne.
Saluée par la critique, sa vaste discographie s’étend du baroque au 21e siècle (Choix de France Musique, Diapason Découverte, Version de référence de la Tribune des critiques de France Musique, Choc Classica…)
Enregistré sur trois violoncelles, son premier CD solo intitulé Præludio sort le 24 mai 2019 chez Klarthe Records.
Il se produit fréquemment en récital (Théâtre du Capitole de Toulouse, Le Quartz de Brest, Paris Salle Cortot, Abbaye de Royaumont…) et joue en soliste les concertos de Haydn, CPE Bach, Vivaldi, Porpora…
Il fonde en 1999 le Quintette Syntonia, avec lequel il remporte le Prix Tina Moroni du Concours International de Florence, joue dans de nombreux festivals, tourne pour Arte Live Web et est en résidence à la Fondation Singer-Polignac (2012-2017).
Patrick est également un ardent défenseur de la musique des compositeurs actuels. En solo ou avec Syntonia, il travaille avec Édith Canat de Chizy, Camille Pépin, Henri Dutilleux et créé des œuvres de Suzanne Giraud, Nicolas Bacri, Régis Campo, Pierre Chépélov, Jérôme Combier, Philippe Forget, Olivier Greif, Benoît Menut, Gabriel Sivak, Tôn-Thât Tiêt...
Violoncelle solo des Musiciens du Louvre (Marc Minkowski), des Musiciens de Saint Julien (François Lazarevitch) ainsi que d’Orfeo 55 (Nathalie Stutzmann) de 2010 à 2018, il est aussi invité en tant que tel par de nombreux ensembles sur instruments anciens.
Diplômé du CNSM de Paris (1ers Prix de violoncelle et de musique de chambre) et du CRR de Paris (1er Prix de musique ancienne), il est lauréat de la Fondation de France et de la Fondation Royaumont.
PRESSE
« La Pampeana n°2 op.21 et la sonate opus 49 de Ginastera, composition souvent volcanique que joue avec une incroyable intensité Patrick Langot » - Opéra Magazine, 4 Clés, mars 2017
« Le violoncelle de Patrick Langot, ailleurs pilote fédérateur de l’ensemble de musique de chambre Syntonia, dévoile la puissance expressive de la Sonate pour violoncelle et piano [de Ginastera] datée de 1979 » - classiquenews.com, novembre 2016
« L’archet généreux, la sonorité pleine, riche, âpre et la rauque aussi lorsque l'expression le réclame, de Patrick Langot trouvent un terrain d’expression rêvé dans ces pages. » - concertclassic.com, novembre 2016
« Toute la force de l'Amérique Latine sous les doigts de Patrick Langot. Et que dire de la sonate pour violoncelle et piano qui lui va comme un gant ? Sa force d'interprétation éclate à chaque mesure. Le trait est net et puissant. » - Ouest France, novembre 2016
« The orchestra, Orfeo 55, play with a bristling energy throughout. Cello soloist Patrick Langot, is to be commended for his delicate solo during Son qual stanco Pellegrino. » - Limelight / Australia’s classical music & art’s magazine, avril 2015
« Il était attendu. Le programme était risqué. Un programme intimiste dans la grande salle du Quartz… Il n'a pas déçu, ils n'ont pas déçu. Patrick Langot et Aline Zylberajch ont prouvé qu'il n'y avait pas qu'une façon d'écouter la musique baroque et que, passée la première surprise de la sonorité des instruments anciens, le plaisir était au bout. Plus de 800 spectateurs, une qualité de silence exceptionnelle... C'est dire l'appétit des Brestois pour les choix proposés. Patrick Langot n'a pas cherché le flamboyant, côté scintillant, mais bien l'ardent profond et la finesse. Supplément d'âme qui s'impose à chaque phrase. Magnifique et méditative Suite pour violoncelle seul n°2 en ré mineur qu'il interprète sur son instrument de 1704. On reconnaît bien là tout ce qu'on a toujours pensé de son jeu, sa ligne de conduite indéfectible, la sincérité. Il sait s'approcher au plus près de l'oeuvre. L'Arpeggione de Schubert, en conclusion, procure de nouvelles émotions, lyriques cette fois. Magistrale, propre à faire fondre le public. On le connaissait continuiste, chambriste. Avec ce concert, Patrick Langot s'impose en véritable soliste. » - Ouest France, janvier 2014
« Salle pleine au Quartz en ce mercredi soir. Le violoncelliste Patrick Langot a la rude tâche d'ouvrir le concert du Collegium Orpheus, sur instrument baroque, avec le 2ème concerto d'Haydn, une œuvre qui fourmille de difficultés. Un choix assumé. Un choix exigeant. La musique se crée là, sous nos yeux, avec un artiste engagé, habité, qui pousse l'expressivité jusqu'à faire rire ou pleurer ses cordes. Chatoiement des couleurs et demi-teintes. On salue la cadence du premier mouvement, écrite par le violoncelliste lui-même. Un véritable morceau de bravoure. La tiédeur n'est pas la marque de Patrick Langot. » - Ouest France, juin 2012
« A retenir avant tout, le violoncelle de Patrick Langot dans le « Qui Habitare » du Laudate Pueri : la vie palpite dans la lagune. » - Diapason, avril 2012
« Agnès Vesterman et Patrick Langot campent avec intensité tour à tour bourreaux ou victimes. » (Greif, "The Battle of Agincourt") » - Diapason, mai 2010
« Dès les premières notes, une extraordinaire complicité est apparue entre les deux interprètes. Les trois œuvres ont mis en valeur la virtuosité indiscutable de Romain David et Patrick Langot. Une maîtrise, un sens approfondi de la nuance au service d’une richesse musicale absolue. La « Sonate » de Chostakovitch sur ce plan a été en tout point une merveille d’interprétation. Un véritable kaléidoscope d’atmosphères opposées, du lugubre à peine audible au jaillissement rythmique, explosion de joie à l’image d’une danse populaire... Quelle belle musique pleinement goûtée par les auditeurs fascinés. Et de nouveau une pièce de Schumann, compositeur qu’ils adorent, pour terminer ce concert sur un bis salué par des applaudissements enthousiastes et chaleureux qui montaient de toutes parts dans ce Petit théâtre de la Passerelle de Saint-Brieuc qui convient si bien à des soirées de ce genre. » - Le Télégramme, janvier 2008
« Emporté par la musique, au-delà de son instrument, il descend au plus profond des cœurs. Il nous touche comme seul de jeunes interprètes peuvent aujourd’hui le faire, qui ne sont pas blasés par la routine. » - classiquenews.com, août 2006