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"Cello soloist Patrick Langot, is to be commended for his delicate solo" - Limelight / Australia’s classical music & art’s magazine

ACTU

Patrick Langot - Descaminos 2021-14.jpg

ENREGISTREMENT DE DEUX CONCERTOS ARGENTINS

Patrick Langot crée et enregistre "Descaminos" de Gabriel Sivak et "Alas" de Gerardo di Giusto avec l'Orchestre de Lutetia, Alejandro Sandler et la participation du violoniste Alexis Cardenas. Sortie du CD en septembre 2023 (Évidence Classics).

VIDÉO À LA UNE

À la une
Concerts

PROCHAINS CONCERTS 

2023

10

12

14

mars

"Serse" / Opéra de G.F. Händel

Orchestre de l'Opéra de Rouen

(Violoncelle solo & continuo)

Direction Musicale & Clavecin : David Bates

Opéra de Rouen

11

mai

C. Debussy, Prélude à l’après-midi d’un faune (arr. B. Menut)

G. Fauré, Quintette pour piano et cordes n°2 op. 115

(2e mvt, Scherzo)

C. Franck, Quintette pour piano et cordes en fa mineur

Festival de l'Épau

27

mai

"Sento in seno " / Vivaldi, Airs d'opéra 

Il Caravaggio : Camille Delaforge

Rougemont (Suisse), Festival "la Folia"

31

mai

"Trois concertos pour flûte"

Les Musiciens de Saint-Julien, François Lazarevitch

Le Havre, Scène Nationale du Volcan

19h30

10

juin

"Suprématie de la Musique Française"

De la sonate au quintette ; Ravel, Aubert, Chausson, Pierné, Dupont

Quintette Syntonia

Églises se Saint-Avit et Laurenque, Festival Connaissance des Jeunes Interprètes

À partir de 14h30

09

juil

"Sento in seno " / Vivaldi, Airs d'opéra 

Il Caravaggio : Camille Delaforge

Festival de Beaune

18-

23

juil

Résidence artistique avec les artistes du festival

Briare, Festival Autrement Classique

25

août

Le Stagioni, Paolo Zanzu 

Festival de Sablé

23

sept

Bach, Concertos brandebourgeois

Avec François Lazarevitch & les Musiciens de Saint Julien

Festival de la Réole

Bio

BIOGRAPHIE

Photo _ Julien Mignot

Patrick Langot fait figure d'électron libre parmi les violoncellistes de sa génération. Il mène depuis 20 ans une double carrière sur violoncelles baroque et moderne. Il se produit fréquemment en récital (Festival International de Beauvais, Théâtre du Capitole de Toulouse, Le Quartz de Brest, Paris Salle Cortot, Abbaye de Royaumont…) et en soliste (concertos de Haydn, CPE Bach, Vivaldi, Porpora…)

En 2021, son projet "Alas" met à l'honneur la création pour violoncelle et orchestre. Il passe commande de deux œuvres concertantes auprès des compositeurs argentins Gabriel Sivak et Gerardo Di Giusto. Le disque éponyme sortira fin 2022, avec le violoniste Alexis Cardenas et l'Orchestre de Lutetia dirigé par Alejandro Sandler (Évidence Classics).

Il fonde en 1999 avec le pianiste Romain David le Quintette Syntonia, avec lequel il remporte le Prix Tina Moroni du Concours International de Florence, joue dans de nombreux festivals, tourne pour Arte et est en résidence à la Fondation Singer-Polignac (2012 à 2017). Ses partenaires de musique de chambre sont également les sopranos Maya Villanueva et Élodie Fonnard, les pianistes Alain Planès et Daria Fadeeva, les violoncellistes Emmanuelle Bertrand et Agnès Vesterman, la violoniste Stéphanie Moraly... Il est notamment l'un des rares violoncellistes à jouer la Sonate pour Arpeggione de Schubert sur l'instrument éponyme. 

Saluée par la critique, sa vaste discographie de plus d'une trentaine d'opus s’étend du baroque au 21e siècle (Choix de France Musique, Diapason Découverte, Version de référence de la Tribune des critiques de France Musique, CHOCS Classica…). Enregistré sur trois violoncelles, son premier CD solo intitulé Præludio (2019, Klarthe Records) est salué par la critique. Il enregistre aussi pour Harmonia Mundi la musique de chambre de Benoît Menut.

Patrick est un ardent défenseur de la musique des compositeurs actuels. En solo ou avec Syntonia, il travaille avec Édith Canat de Chizy, Camille Pépin, Henri Dutilleux, créé des œuvres de Suzanne Giraud, Nicolas Bacri, Pierre Chépélov, Olivier Greif, Grégoire Letouvet, Alejandro Iglesias Rossi et passe commande auprès de Régis Campo, Philippe Forget, Gerardo di Giusto, Benoît Menut, Tôn-Thât Tiêt, Graciane Finzi, Gabriel Sivak...

Il est et fut violoncelle solo de nombreux ensembles sur instruments anciens : Les Musiciens du Louvre (Marc Minkowski), Orfeo 55 (Nathalie Stutzmann), Il Caravaggio (Camille Delaforge), les Musiciens de Saint Julien (François Lazarevitch), Le Parlement de Musique (Martin Gester), la Chapelle Rhénane (Benoît Haller), l'Ensemble Matheus (Jean-Christophe Spinosi), Le Stagioni (Paolo Zanzu)...

Diplômé du CNSM de Paris (1ers Prix de violoncelle et de musique de chambre) et du CRR de Paris (1er Prix de musique ancienne), il est lauréat de la Fondation de France et de la Fondation Royaumont.

PRESSE

 « La Pampeana n°2 op.21 et la sonate opus 49 de Ginastera, composition souvent volcanique que joue avec une incroyable intensité Patrick Langot » - Opéra Magazine, 4 Clés, mars 2017

 

« Le violoncelle de Patrick Langot, ailleurs pilote fédérateur de l’ensemble de musique de chambre Syntonia, dévoile la puissance expressive de la Sonate pour violoncelle et piano [de Ginastera] datée de 1979 » - classiquenews.com, novembre 2016

« L’archet généreux, la sonorité pleine, riche, âpre et la rauque aussi lorsque l'expression le réclame, de Patrick Langot trouvent un terrain d’expression rêvé dans ces pages. » - concertclassic.com, novembre 2016

 

« Toute la force de l'Amérique Latine sous les doigts de Patrick Langot. Et que dire de la sonate pour violoncelle et piano qui lui va comme un gant ? Sa force d'interprétation éclate à chaque mesure. Le trait est net et puissant. » - Ouest France, novembre 2016

 

« The orchestra, Orfeo 55, play with a bristling energy throughout. Cello soloist Patrick Langot, is to be commended for his delicate solo during Son qual stanco Pellegrino. » - Limelight / Australia’s classical music & art’s magazine, avril 2015

 

« Il était attendu. Le programme était risqué. Un programme intimiste dans la grande salle du Quartz… Il n'a pas déçu, ils n'ont pas déçu. Patrick Langot et Aline Zylberajch ont prouvé qu'il n'y avait pas qu'une façon d'écouter la musique baroque et que, passée la première surprise de la sonorité des instruments anciens, le plaisir était au bout. Plus de 800 spectateurs, une qualité de silence exceptionnelle... C'est dire l'appétit des Brestois pour les choix proposés. Patrick Langot n'a pas cherché le flamboyant, côté scintillant, mais bien l'ardent profond et la finesse. Supplément d'âme qui s'impose à chaque phrase. Magnifique et méditative Suite pour violoncelle seul n°2 en ré mineur qu'il interprète sur son instrument de 1704. On reconnaît bien là tout ce qu'on a toujours pensé de son jeu, sa ligne de conduite indéfectible, la sincérité. Il sait s'approcher au plus près de l'oeuvre. L'Arpeggione de Schubert, en conclusion, procure de nouvelles émotions, lyriques cette fois. Magistrale, propre à faire fondre le public. On le connaissait continuiste, chambriste. Avec ce concert, Patrick Langot s'impose en véritable soliste. » - Ouest France, janvier 2014

 

« Salle pleine au Quartz en ce mercredi soir. Le violoncelliste Patrick Langot a la rude tâche d'ouvrir le concert du Collegium Orpheus, sur instrument baroque, avec le 2ème concerto d'Haydn, une œuvre qui fourmille de difficultés. Un choix assumé. Un choix exigeant. La musique se crée là, sous nos yeux, avec un artiste engagé, habité, qui pousse l'expressivité jusqu'à faire rire ou pleurer ses cordes. Chatoiement des couleurs et demi-teintes. On salue la cadence du premier mouvement, écrite par le violoncelliste lui-même. Un véritable morceau de bravoure. La tiédeur n'est pas la marque de Patrick Langot. » - Ouest France, juin 2012

 

« A retenir avant tout, le violoncelle de Patrick Langot dans le « Qui Habitare » du Laudate Pueri : la vie palpite dans la lagune. » - Diapason, avril 2012

 

« Agnès Vesterman et Patrick Langot campent avec intensité tour à tour bourreaux ou victimes. » (Greif, "The Battle of Agincourt") » - Diapason, mai 2010

 

« Dès les premières notes, une extraordinaire complicité est apparue entre les deux interprètes. Les trois œuvres ont mis en valeur la virtuosité indiscutable de Romain David et Patrick Langot. Une maîtrise, un sens approfondi de la nuance au service d’une richesse musicale absolue. La « Sonate » de Chostakovitch sur ce plan a été en tout point une merveille d’interprétation. Un véritable kaléidoscope d’atmosphères opposées, du lugubre à peine audible au jaillissement rythmique, explosion de joie à l’image d’une danse populaire... Quelle belle musique pleinement goûtée par les auditeurs fascinés. Et de nouveau une pièce de Schumann, compositeur qu’ils adorent, pour terminer ce concert sur un bis salué par des applaudissements enthousiastes et chaleureux qui montaient de toutes parts dans ce Petit théâtre de la Passerelle de Saint-Brieuc qui convient si bien à des soirées de ce genre. » - Le Télégramme, janvier 2008

 

 « Emporté par la musique, au-delà de son instrument, il descend au plus profond des cœurs. Il nous touche comme seul de jeunes interprètes peuvent aujourd’hui le faire, qui ne sont pas blasés par la routine. » - classiquenews.com, août 2006

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